Maman M déménage…

Je déménage tout simplement sur
mariepierm.com

Les articles de Maman M restent disponibles en tant qu’archives. Néanmoins, quelques-uns des articles les plus consultés seront réécrits/republiés sur le nouveau blogue. À bientôt!

Faire son ménage techno : les réseaux sociaux

Il m’arrive très fréquemment de me questionner sur mon utilisation des médias sociaux, sur la place que je leur accorde et, surtout, sur le temps que j’y passe. Mes réflexions se dirigent souvent vers les mêmes conclusions : ils me sont indispensables, mais j’y passe beaucoup trop de temps. Puisque je m’en sers dans mon domaine, mais aussi pour communiquer avec d’autres mamans, je ne peux me résoudre à quitter l’une ou l’autre des plateformes auxquelles je suis inscrite. (Quoique, dernièrement, j’ai retrouvé un vieux compte MySpace que je me suis empressée de fermer…) Afin de maximiser mon temps virtuel, je procède donc régulièrement à un ménage techno.

Lire l’article sur Espresso double

 

Un mois, un mot : Août – Patience

En juillet, j’avais déjà une petite idée de mon choix de mot du mois d’août. J’avais envie de vous parler du temps, question de faire suite à mes décomptes estivaux. Puisque je suis encore en convalescence, ma notion du temps a changé. Depuis qu’il s’est pointé, l’été passe rapidement, mais mes premières journées post-chirurgie se sont étirées en maux de toutes sortes. (Ne vous inquiétez pas, rien à voir avec l’an dernier!) Je me suis donc armée de patience et d’une bonne dose de positivisme.

Je vais mieux de jour en jour, mais mon corps me dit encore assez souvent de ralentir. J’ai hâte de reprendre ma vie active, de marcher des heures, de jouer sans contraintes avec mes enfants. Alors je m’arme de patience et je me répète deux, trois proverbes que je trouve bien vrais ces jours-ci.

Il faut donner du temps au temps.

La patience vient à bout de tout.

Tout vient à point à qui sait attendre.

Sur cette petite dose de sagesse, je vous souhaite de profiter amplement de votre mois d’août!

J’ai testé : H8S Bar à café

J'ai testé : H8S Bar à caféCrédits : H8S Bar à café

Début juillet, je me suis pointée au H8S Bar à café avec une amie. Nous y étions le jour de l’ouverture. Il faut dire que j’attendais depuis longtemps qu’un joli petit café ouvre ses portes à Lachine. Et voilà, c’était chose réalisée! Il faisait si beau ce jour-là que nous avons profité de la petite terrasse sur le trottoir en sirotant un excellent café glacé. (D’accord, je l’avoue, nous avons aussi succombé au brownie au caramel! Miam!)

Le lieu en soi est petit, mais si accueillant. Le décor est minimaliste, moderne et chaleureux grâce au bois utilisé et à la présence de quelques plantes. Le café est situé sur le bord de l’eau, à deux pas de la piste cyclable, et est voisin du Quai des glaces. (Ce qui permet une merveilleuse association si vous avez envie d’un affogato. Si vous ne connaissez pas, courez y goûter!)

Les propriétaires de l’endroit se disent très baby friendly, puisqu’ils ont eux-mêmes eu un enfant dans la dernière année. Je n’étais pas accompagnée de mes jeunes lors de ma visite, mais deux mamans avaient leurs poupons avec elles sur la terrasse. L’une d’elles a eu besoin de faire réchauffer son biberon et la très gentille barista l’a aidée en ce sens. On aime x1000!

Je compte y retourner très bientôt. Je sens que cela deviendra un incontournable près de chez moi.

H8S Bar à Café
2130, boulevard Saint-Joseph, Lachine

Heures d’ouverture
Lundi au vendredi : 7h à 21h
Samedi : 9h à 21h
Dimanche : 9h à 17h

Bon à savoir : Si vous amenez votre tasse réutilisable, vous obtiendrez 10% de rabais sur votre café.

Souffler 30 bougies

BallonsSource : Pinterest

Comme je vous le disais dans mon dernier billet, j’ai vécu à fond ma crise de la trentaine. C’est donc avec beaucoup de joie que j’accueille la trentaine, comme s’il s’agissait d’un vent de fraîcheur.

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La crise de la trentaine

Andy WarholComme je le disais dans mon dernier article, j’aurai 30 ans très très bientôt. Avec du recul et en lisant un peu sur le sujet, j’ai réalisé dernièrement que je venais probablement de vivre ma crise de la trentaine au cours des deux dernières années. (Il semble qu’elle peut débarquer avant le temps, la vilaine!)

En somme, la crise de la trentaine survient lorsque nous ressentons une insatisfaction dans notre vie. Il faut quand même dire que la société ne nous épargne pas, car, selon elle, il faudrait tout avoir avant trente ans : l’emploi, le mari, la maison et les enfants! Ça fait beaucoup, je trouve! Pour ma part, j’ai réalisé que j’avais tout cela, sauf l’emploi de mes rêves que j’avais écarté pour avancer sur d’autres pans de ma vie. Mes questionnements ont donc tourné autour de ma carrière, j’ai décidé de faire un retour aux études, j’ai douté de mon choix et je l’ai enfin confirmé en commençant mes cours à la session d’été. (Eh non, je ne peux pas faire comme tout le monde!)

La bonne nouvelle, c’est que cette crise de la trentaine finit par passer. Nous savons alors davantage qui nous sommes, ce qui est important pour nous et nous assumons ce que nous voulons dans la vie. J’ai lu quelque part qu’il ne fallait pas voir ce passage comme une crise, mais plutôt comme un renouveau. J’aime cette idée de questionner ce qui ne nous satisfait pas, de trouver la cause au fond de nous-mêmes (parce qu’elle est là), de sortir le négatif et de faire place au positif.

Et vous, avez-vous vécu la fameuse crise de la trentaine?

À lire sur le sujet :
Reconnaître les 12 symptômes d’une crise de la trentaine
30 ans : c’est la crise

Un mois, un mot : Juillet – Décomptes

Ces jours-ci, je réalise que le début de mon mois de juillet est synonyme de décomptes de toutes sortes. Alors, tout simplement, les voici :

+ Le décompte des jours avant mon trentième anniversaire
C’est symbolique, mais le fait de tourner la page sur ma vingtaine me fait le plus grand bien. J’y ai vécu des hauts et des bas, mais je compte bien me souvenir de ce qui est ressorti de positif de cette décennie.

+ Le décompte des jours avant mon opération, prise 2
L’an dernier, je me suis fait opérer pour une hernie et, comme je suis très chanceuse, ça a déchiré à nouveau et je dois repasser sur la table d’opération deux jours avant mes 30 ans. Je me dis que tout ça sera derrière moi avant le début de cette nouvelle décennie.

+ Le décompte des souhaits qui se sont réalisés
L’an dernier, j’ai fait 29 souhaits pour mes 29 ans. Je dirais que j’en ai atteint près de la moitié, mais plusieurs sont à travailler jour après jour. Parce que c’est à nous de créer notre chance et notre vie, hein!

Bon mois de juillet!

Je suis la mère que je suis

Be happy with who you are

Il m’est difficile de vous écrire aujourd’hui, car le sujet que je veux aborder me touche directement et montre inévitablement que je ne suis pas si forte, que je peux me tromper. Je sais que je ne suis pas parfaite, que j’ai droit à l’erreur, mais j’ai vécu toute ma vie avec l’impression de devoir garder ma place de première : la première de la famille qui montre l’exemple, la première de classe qui ne peut avoir de mauvaises notes. Et, à vrai dire, j’ai toujours plutôt bien performé de ce côté-là. Je n’ai jamais heurté de murs. Bien que cela me demande beaucoup de travail, j’ai toujours atteint mes idéaux. Chanceuse, me direz-vous. Je ne suis pas à plaindre, non.

Mais voilà, la maternité, ça vient inévitablement avec un monde d’idéaux. Dès le petit plus sur le bâton, on s’imagine une vie parfaite, certes avec des hauts et des bas, mais avec des bas qu’on arrive à surmonter avec le sourire et un petit « je savais bien que ce ne serait pas facile tous les jours ». C’est ainsi que je me suis fixé un idéal pour tout ce qui entourerait mon accouchement et le bébé à venir. Néanmoins, je me disais : «j’ai le droit de changer d’idée». C’est ce que j’ai fait pour quelques décisions. Et c’est très bien comme ça.

Par contre, j’ai réalisé dernièrement que je m’étais mis de la pression. Beaucoup trop même. Mais je ne le savais pas.

Je m’étais créé dans mon esprit la mère idéale, celle que je voulais être. Une mère présente pour ses enfants, à la maison jusqu’à leur entrée à l’école (peut-être même que je ferais l’école à la maison?), une mère qui cuisine bio, qui initie des tonnes de bricolages, alouette! Une vraie Pinterest Mom, quoi!

Mais ça ne fonctionne pas comme ça. Même si c’était mon choix, au bout d’un certain temps, je me suis mis à broyer du noir. Carrément. J’ai perdu mon enthousiasme. Et je déprimais. Je déprimais, car j’avais tout ce que j’avais toujours voulu : être avec mes enfants, être présente au moindre petit bobo, jouer avec eux tous les jours… Mais je n’étais pas heureuse. Et je me suis mise à me sentir ultra-coupable. Coupable de ne pas en profiter assez. Coupable de ne pas être si heureuse d’être à la maison.

La réalité, c’est que je ne m’étais pas écouté MOI. Oui, moi, la maman et la femme. Je m’étais bâti la mère idéale. Mais ce n’était pas moi. Ce n’était pas ça. Je m’étais trompée pour la première vraie de vraie fois, une de celles qui comptent le plus. Et ça a été un choc.

Quand j’ai réalisé que mon idéal ne cadrait pas avec ma réalité, ma personnalité et mes besoins, j’ai senti un énorme poids se libérer de mes épaules. C’était si simple. C’était là, en moi, ce besoin de défis à l’extérieur de la maison, à l’extérieur de mon rôle de maman. Pourquoi ne l’avais-je pas vu plus tôt?

Je me rappelle qu’une amie m’avait déjà dit : «Je suis beaucoup plus heureuse depuis que A. va à la garderie.» Cette phrase a pris tout son sens lors des derniers mois. Je sais que c’est très personnel et, en ce moment, d’autres mamans vivent complètement l’inverse de ma situation.

J’imagine que c’est ça, la vie. Réaliser parfois après-coup, mais toujours continuer à évoluer. J’ai envie de vous dire, tout simplement, de vous écouter. D’écouter la femme et la mère en vous. Cette femme, qu’elle soit au travail, à la maison, aux études, est-elle bien, est-elle heureuse? La réponse n’est jamais très loin. Il suffit de se poser la question et d’être honnête avec soi-même.

Et vous savez quoi? Depuis mon retour aux études, je me sens beaucoup plus connectée à mes enfants, ça me fait plaisir de leur concocter leurs repas préférés, j’instaure plein d’activités et je sens tout l’amour qui nous unit. Comme quoi je n’étais pas si loin de ma vérité.

3 excellentes raisons de réduire la taille de son chez-soi

Petite maison

J’ai terminé ma session d’été intensive! Pendant deux semaines, je me suis couchée chaque soir après minuit et je n’ai tellement pas eu le temps de faire mon ménage! Je ne sais pas pour vous, mais, de mon côté, ça me décourage un peu quand ça s’accumule. J’ai beau épurer ma maison aussitôt que j’en ai l’occasion, je me rends compte qu’il y a toujours un pas de plus à faire. Et si la solution résidait dans une plus petite demeure? Choisir plus petit pour se libérer un peu plus?

Voici donc mes 3 raisons de choisir un plus petit cocon.

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Petit guide du désencombrement

Petit guide du désencombrement

La fête du déménagement et la saison des ventes de garage arrivent à grands pas! Pourquoi ne pas profiter de ces occasions pour vous désencombrer un peu? Pour ce faire, il vaut mieux y aller par étapes, car, autrement, les sentiments remporteront souvent sur le fait de se débarrasser de certains objets.

Le tri

Lorsque l’on fait le tri de nos possessions, il convient de se poser quelques questions. Est-ce que j’aime cet objet? Est-ce que je l’ai utilisé au cours de la dernière année? En ai-je un autre qui peut également occuper sa fonction? Si oui, ai-je besoin de ces deux objets ou d’un seul? L’important est de se questionner, mais néanmoins il ne faut jamais se demander : Est-ce que cela pourrait m’être utile un jour? Il y aura trop de « peut-être » et il sera impossible de se débarrasser du superflu. Si nous n’avons pas utilisé un objet depuis trop longtemps, il risque de ne jamais servir à nouveau, d’être oublié et de ne prendre qu’un peu plus d’espace dans notre quotidien.

Bon débarras!

Après nous être posé quelques questions concernant l’objet que nous tenons entre nos mains, il faut évaluer si nous le gardons ou si nous nous en débarrassons. Selon le Feng Shui, il faut s’en débarrasser s’il n’entre pas dans l’une ou l’autre de ces catégories :

  • Utile : Un objet est utile quand il est utilisé régulièrement dans l’année.
  • Beau : Un objet est beau quand ses formes et ses couleurs nous inspirent.
  • Symbolique : Un objet symbolique ne nous rappelle que de bons souvenirs. Attention, toutefois, de ne pas s’encombrer d’éléments du passé, surtout s’ils suscitent chez nous des sentiments négatifs.

Bref, nous pouvons dire «Bon débarras!» à tout ce qui ne nous procure pas un sentiment positif, à ce qui n’a pas servi dans la dernière année, au superflu (bibelots, collections, etc.), à ce que nous avons en double (ou plus!), à ce qui ne nous convient plus (car nous changeons et évoluons), à ces cadeaux non désirés et à ce que nous n’aurions jamais dû acheter.

Le rangement

Il est ensuite temps de trouver une place pour chaque chose. Il faut alors respecter un principe tout simple et évident : les objets utilisés régulièrement doivent être à portée de main tandis que les autres peuvent être rangés moins près. Il peut s’avérer utile d’utiliser un système d’étiquetage s’il s’agit d’items saisonniers.

Et après?

Il est évident qu’une fois que nous nous sommes désencombrés, nous ne désirons pas recommencer à accumuler! Il convient alors de se poser quelques questions lors de nos achats afin de ne pas agir sur le coup de l’impulsion ou avec le sentiment qu’on a besoin d’un objet alors que ce n’est pas le cas.

Avez-vous l’impression de posséder trop de choses?

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